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régulation et contrôle - Page 4

  • La communication

    Il n’y a aucun moyen de « sortir de la dette par la croissance » lorsque vos revenus chutent et que vos dettes augmentent.

    Plus d'infos sur : http://la-chronique-agora.com/dette-krachs-boursiers/
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    Voici une importante information qui doit nous faire réfléchir.

    Il semble que nous ayons créé un monde entièrement fait de communication et qu’il devient réel…Quelle aventure !

    Allons nous enfin mettre « nos cerveaux en réseau » et discipliner nos « avatars » afin qu’ils régulent et contrôlent leurs attitudes et leurs comportements pour rendre « efficace » notre communication ?
    L’expression et la mobilisation des peuples démocratiques pourraient ainsi s’exprimer autrement que par une large abstention et un mépris total des élites politico-médiatiques.

    Certains de mes amis, par exemple, confondent information et communication…J’aimerai leur rappeler qu’il n’y pas de communication sans info-retour (rétroaction).
    Et cette rétroaction est totalement absente y compris dans les médias dit de réinformation.


    Oui la communication est le « nerf de la guerre et ceux qui perdent la guerre  de la communication perdent souvent la guerre tout court. Surtout lorsque l’information devient de la propagande.
    Les israéliens par exemple se sont rendus compte avec l’affaire Al Dura que les palestiniens leur étaient supérieurs en matière de communication et que si ils avaient perdu la sympathie de l’Occident c’était en grande partie pour cette raison.

    Avec les réseaux sociaux, la structuration de NOTRE communication est à notre portée. Et si nous pensons en réseau l’action elle même n’est plus qu’une résultante de la pensée. Si nous pensons en réseau que telle action DOIT se produire, elle se produira …

    Pensez y !

    Francis-claude Neri

    16 03 18

  • Régulation, contrôle, remédiation

    Alain Persat Les migrants ne sont que la conséquence de la remise en cause de la démocratie par les multinationales. Ah c'est plus facile de s'attaquer à eux qu'à ceux qui provoquent ces migrations.


    Mon cher Alain Persat Si vous voulez appréhender correctement la notion de « conséquences » et avoir une vision « prospective » de l’avenir, il vous faut aller un peu au delà des apparences et adopter une approche, une lecture systémique des événements et ne pas vous contenter d’observer et de ne voir qu’une simple relation de cause à effet.
    Un système (humain) est, comme vous le savez, un ensemble d’éléments en interaction dynamique orienté vers un but, un objectif, une finalité.
    Dans un tel « système ouvert », l’effet rétroagit TOUJOURS sur la cause et, la rétroaction se fait en boucle, ce qui ne permet pas à l’état actuel de nos connaissances de remonter à la cause des causes et ne le permettra probablement jamais. Il nous manquera toujours des informations fiables pour appréhender correctement la réalité.
    Nous continuerons donc encore longtemps à prendre l’effet pour la cause, à n’exprimer que des opinions, et à accuser indifféremment l’œuf ou la poule.
    Par exemple : Que l’on accuse les migrants de nos difficultés ou ceux qui ont provoqué ces migrations ne fait aucune différence quand aux effets que nous subissons et, ce sont bien des migrants (en particulier des musulmans) qui nous les font subir, même si leurs alliés objectifs –la gauche multiculturaliste et les prédateurs de l’oligarchie mondiale - y contribuent.
    Bien entendu, comme nous avons encore un peu de mémoire, nous savons, par exemple, que le regroupement familial est une des causes majeures de l’invasion islamiste et africaine. Nous connaissons fort bien les responsables et leurs motivations. Nous savons qu’ils sont coupables et nous ne pouvons, ni apparemment ne voulons, les faire passer en jugement, les punir et remédier à la faute lourde qu’ils ont commise.
    Devons nous pour autant continuer à admettre sur notre territoire des migrants potentiellement islamo-incompatibles avec NOTRE système de civilisation ?
    Bien sur que non !
    Devons nous laisser leurs successeurs alimenter encore et toujours les mêmes « boucles de rétroactions » faire encore et toujours un peu plus de la même chose ?
    Bien sur que non !
    Ces boucles nous devons les « ouvrir » et la boucle migratoire en urgence. Ensuite, après avoir « remédié » à ces inconvénients, nous avons à poser des thermostats et des régulateurs pour les maintenir ouvertes …lorsque la pression monte. Car voyez vous nos « zélites » politico-médiatiques auraient vite tendance à les refermer …c’est dans les gènes !
    Et oui, chaque fois que nous faisons état d’une problématique, que ce soit sur l’économie, la finance, l’immigration, la religion etc. « ON » nous dit : l’économiste, le trader, le migrant, ou le musulman n’est en rien responsable c’est le « système » et il faut chercher la cause des causes !
    Certains d’entre nous sont des spécialistes de cette exploration de l’irresponsabilité individuelle ET collective… c’est LE « système » …tout est dit !
    ET ceux qui le sont mourront tranquillement dans leur lit, entourés de leur famille et honorés par leurs pairs.
    Il faut que cela cesse, car le temps passe, le contexte devient chaque jour plus « critique ».
    Les bulles temporelles les plus avancées doivent se garder de penser qu’elles auront le dernier mot …Toutes les civilisations sont mortelles. Que la bulle temporelle occidentale se le redise encore et encore.

    Francis-claude Neri
    18 11 17

  • Le choc des présidentielles

    Beaucoup de nos amis sont sous le choc et désorientés, ils ne savent vraiment plus vers qui et vers quoi se tourner pour sortir de l’impasse dans lequel la tornade politico-médiatique des élections Présidentielles et législatives les ont laissés.

    C'est comme lorsque passe un ouragan ou une grosse "pollution" ce qui peut régénérer le tout ce sont les zones intactes autour ...ce fut le cas avec le Rhin après pollution des industries chimiques et pharmaceutiques ...les affluents et les nappes phréatiques l'ont régénéré ...c'est ce que NOUS allons faire et ce en dehors des partis et des appareils et en nous appuyant sur la partie encore saine de NOTRE organisme.
    Il nous faut aller plus loin dans l’analyse, le savoir être et le savoir faire. Comprendre et vite que s’en est fini des partis et de leurs appareils.

    La grande avancée de la recomposition politique française actuelle, ce n’est pas seulement d’être sorti du clivage gauche-droite, c’est que tous les partis et leurs appareils se sont effondrés, qu’ils ne sont plus crédibles et qu’il nous faut voir ailleurs et particulièrement auprès du peuple qui lui à prit conscience bien avant les politiques de la terrible réalité qui se joue sous nos yeux.

    Il y a bien une coupure entre le peuple et les élites pour le moins aveugles et qui nient les réalités quotidiennes dont souffrent les citoyens.
    Le peuple qui lui subit l’absence de sécurité, d’autorité, d’ordre, d’immigration ou d’islamisme et bien entendu le tout se doublant d’insécurité sur l’emploi, sur sa culture, son identité etc.

    Comme nous le dit avec force notre ami Pascal Dondon « Quand un immeuble s'effondre, on ne le reconstruit pas en commençant par la toiture, on repart des fondations...et en France, les fondations ce sont le peuple.

    « A lui de reconstruire ses rêves en partant sur de nouvelles bases, pas avec des vestiges qui les a manipulé et trahi...le FN, comme le PS, les RP et le Centre est mort...fantasmer sur leurs dépouilles c'est risquer de s'enterrer avec eux... »

    Notre rêve, c’est la reconstruction de la France et la reconquête de nos territoires : notre terre tout d’abord en reconduisant les nouveaux occupants  inassimilables vers d’autres horizons et en les empêchant d’y revenir. 
    Ensuite nos territoires économique, culturel, cultuel, démographique etc. en luttant pour réguler, contrôler et remédier aux méfaits de la mondialisation et de son cheval de Troie Européen : l’Union Européenne.

    Les partis politiques, et les politiciens, nous ont montré leurs limites et aucun d’entre nous ne leur accorde la moindre crédibilité.
    La reconquête passera nécessairement par un changement structurel profond y compris de nos attitudes et de nos comportements.

    C’est par la constitution de petits groupes « informels » de 3 à 7  personnes disséminés sur l’ensemble du territoire national voire au delà que viendra la régénérescence et particulièrement de ce qu’il est convenu d’appeler « la France périphérique » (Christophe GUILLUY) par opposition avec la France des grandes métropoles qui elles, sont globalement pro-mondialisation et pro-UE).

    Les info-groupes répondent à la définition de la notion de système car ils sont constitués en réseau et en « interactions dynamiques orientés vers un but », un objectif : la reconquête.
    Ils sont organisés de manière fractale, c’est à dire que chaque info-groupe contient la totalité des « informations » de l’ensemble.
    Autonomes, ils agissent en toute subsidiarité, c’est à dire en toute responsabilité opérationnelle sur les évènements locaux et ce sont eux qui demandent assistance et intervention des autres info-groupes.
    Ils informent (mettent en forme) et sont informés (sont mis en forme) par l’ensemble du réseau (interaction/rétroaction).
    Ils savent distinguer les « signaux faibles » et anticipent les actions (les réponses) à conduire.     

    Quelle que soit l’entrée que nous adoptons individuellement – l’économie, la finance, l’emploi, l’immigration, l’UE, l’Euro, le culturel, le cultuel, l’éducation etc. -  il faut aller plus loin et à partir de trois notions qu’il convient de correctement appréhender (faire une recherche Google pour ceux qui n’en sont pas familier)

    1. Celle de réseau, de système et d’interaction.
    2. Celle de structures fractales.
    3. Celle de subsidiarité

    Il apparaît que c’est au sein d’une structure « informelle » comme la notre mais structurée et organisée en réseau que le changement peut se construire et se développer afin d’être « opérationnels » pour 2022.   

    Il appartiendra au « pôle central » des info-groupes de discuter avec les responsables politiques, économiques, médiatiques nationaux afin de tester leur crédibilité et de déterminer si nous devons les soutenir ou les accepter au sein de notre « organisation » (de notre mouvement comme le désigne notre ami Paul Abysses Compe).
    Notre objectif est de peser sur les prochaines élections et de nous organiser –au delà des partis- pour imposer le choix de NOS candidats.

    Certains comme  Emanuelle Menard semblent avoir  une  vision de l’avenir que j’interprète comme étant proche de la notre, et cette vision doit nous intéresser.

    Nous devons refuser à la fois la dilution de la France dans une fondue européenne et la trahison du communautarisme à l’opposé de notre traditionnel creuset fédérateur.

    Nous avons le choix entre une pseudo-modernité d’ouverture et la fidélité à l’âme de la nation. Il ne faut pas confondre cette attitude avec le repli sur soi.

    Et il faut dire la vérité au pays et non pas recourir à des manœuvres machiavéliques pour conduire les Français là où ils ne veulent pas aller.

    En effet, nous serons d’autant plus européens, même en dehors de l’UE, que nous serons français, décidés à refonder une Europe protectrice des nations.

    Nous ne pourrons y parvenir qu’en conservant le potentiel de notre génie national et la flamme d’un idéal de civilisation qui soit basée sur NOS valeurs, celles qui ont fait ce que nous sommes et que nous sommes seuls à pouvoir revisiter.

    L’Union européenne, dans l’état actuel d’une structure hétéroclite, sans âme, privée de vision d’avenir, ne peut prétendre à la souveraineté tant qu’elle n’a pas la capacité de prendre les décisions dans l’intérêt des nations qui la composent, notamment pour le phénomène migratoire, le développement économique de l’Afrique, la lutte contre la fraude fiscale.

    La souveraineté est le propre de toute nation, notamment de la France de 2.000 ans d’existence.

    C’est l’affaire des citoyens, héritiers d’une trajectoire historique et respectueux des générations qui les ont précédés a qui il appartient d’imposer cette vision d’avenir qui demeure liée au rapport des Français à leur histoire.

    Les dirigeants politiques doivent être contraints de choisir entre leur pouvoir personnel ou la France.

    Quant aux citoyens, à défaut des partis politiques en phase terminale, il leur appartient, au nom de la France en danger, de faire revenir au pouvoir un gouvernement qui  soit sur la ligne de départ de la nation, qui protège les citoyens et assure la défense de leurs intérêts.

    Nous avons foi en la France et nous ne laisserons pas les apprentis sorciers actuels, de droite comme de gauche, qui se tirent éternellement la bourre entre eux, revenir au pouvoir pour refaire exactement la même chose que ce qu’ils font depuis 45 ans.
    Sur ce point les citoyens français sont largement en avance sur les politiques qui nous sortent la rengaine de l’union des droites qu’ils nous rabâchent depuis 30 ans sans jamais la faire, les appareils des partis ne la feront jamais.

    A ce titre Robert Menard et son épouse, qui mènent ce combat depuis longtemps, disent tout haut ce que les sympathisants du FN pensent tout bas : ni Mr Wauquiez ni Madame Le PEN ne le veulent vraiment.

    Les époux Menard démontrent en fait que c’est le « ni droite ni gauche » qui l’a emporté …mais que c’est Mr Macron qui l’a fait ….je peux comprendre leur colère !

    Le séisme Macron, le « trou noir » qui absorbe tout, n’est toujours pas ni analysé, ni mesuré par les partis politiques.

    Ils n’ont toujours pas compris que de droite et de gauche, il fallait être « en même temps ». C’est d’ailleurs son expression favorite que bêtement ses opposants ont moquée.

    Le peuple de France lui a compris que tout était possible, mais pas avec les appareils politiques ; il lui faut dépasser les partis.

    L’union peut être réalisée, mais à la base, au plus près du peuple…bien entendu il faut être patient et être sur le terrain. Il faut construire des alliances locales et çà seuls des individus non prisonniers d’un parti peuvent le faire, au delà même des politiciens pour qui tout ce qui les intéressent c’est de ramasser des voix pour se faire élire.
    Nous n’avons pas besoin d’eux et c’est  un vrai combat, fondamental que nous avons à mener, à la base, prés du peuple.

    C’est sur ces concepts que nous construisons le réseau « info-groupe avec un principe de base qui est celui de la subsidiarité, c’est à dire la possibilité de s’assumer localement avec ses forces et de se rassembler globalement pour gagner ensemble.

    Plus est en nous et rien qu’en nous ! 

    Francis-claude Neri

    19 09 17